La chanson du pêcheur…

A seize ans, un été au bord de la mer. Les journées passées au soleil jusqu’à devenir craquante. Les fous rire dans la chambre avant l’appel du dîner : « A table ! » Et puis la séance d’habillage : pantalon d’homme noir, basquettes blanches et marcel..Le soir j’allais en boîte (..) Boire des cocktails de curaçao bleu qui jamais n’atteignaient la couleur de mon lagon. Et attendre l’homme aux yeux verts. Cet été là , dans la boîte je m’ennuyais. Alors je sortais et m’asseyais sur le muret. J’attendais mes amies qui ne se lassaient pas de frétiller sous la boule à facettes. Il s’est approché de moi. Il m’a dit qu’il ramasserait pour moi tous les coquillages de la mer. Je crois qu’il avait abusé du curaçao Le pêcheur en escale me propose sa tendresse et je lui dis : - Regarde-moi ! Crois-tu que c’est possible ? Et il est parti. Sur la mer Cette chanson me rappelle cette rencontre féérique : _Faure_Chanson_Du_Pe_cheur_

Comments

[sardine]

Barberine : t'as oublié les patates au pesto que tu fais si bien...;-) merci de tartiner mon blog avec de la pâte à mots...tu recommences quand tu veux.

Shygefe : De l'amour, de l'action, du suspens, des larmes, génial ton film ! mais ça manque pas un peu de sexe ??? 'fin j'dis ça, c'est comme ça...

[shygefe]

pour épater la sardine, sans casser trois pattes à un canard, le pêcheur montre patte blanche. Elle met alors la main à la pâte pour lui faire croire qu'ils vivront comme des coqs en pâte... mais le pêcheur se carapate à toute vitesse sur ses deux pattes pour que jamais la sardine ne le "rapprate" !

[barberine]

mille pattes, pâtes au pistou , croche patte, patatra, avoir de la patte, retomber sur ses pattes, patte-d'oie, appareiller, apparence, appât, appeau.... apas forte moi ? ok, il fait gris, ok j'suis fatiguée mais si ça peut vous aider pour vos prochains écrits..

[sardine]

... Y'a deux "p" a pas qu'un seul "p" et puis y'a bien un chapeau circonflexe sur le "a"...ça c'est tout bon...appâter est synonyme de "affriander, allécher, amorcer, attirer"....c'est là que le bât blesse : amorce, pêcheur, tu me prends pour qui ? Crois-pas que je me laisse appâter comme ça, avec des coquillages ou des asticots, non...le macro pour me pêcher il n'a rien fait, c'est moi qui me suis jetée dans ses filets en lui criant : "ô secours ! libère-moi ! je suis prisonnière !!! "
Et voilà l'travail !

[sardine]

...je vais chercher un dico.